• Utiliser une thérapie antirétrovirale à court terme (START) qui prévoit le début du traitement après le second trimestre (24° ou à la 28° semaine de gestation);

• Utiliser AZT en monothérapie après le second ou troisième trimestre et pendant le travail et se soumettre à une césarienne élective, c'est-à-dire avant la perte des eaux et le commencement du travail.

la seconde option est déconseillée parce que moins efficace à réduire la transmission verticale et surtout pour le risque de développer une résistance à l’AZT :
Avant de commencer le traitement il est conseillé de se soumettre dans tous les cas à un test de résistance pour vérifier que l’AZT soit actif.
Il peut être conseillé la combinaison de AZT et 3TC (Lamivudine), mais la résistance à ce médicament se développe très rapidement et donc il est préférable de prendre les deux remèdes en une combinaison de trois remèdes (avec une préférence pour un inhibiteur de la protéase ou un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse).
Un autre remède souvent utilisé est la Neviparine (INNTI), dans le cas où le nombre des CD4 serait inférieur à 250; il est conseillé, au contraire, pour la femme, enceinte ou non, qu’elle ait un nombre de CD4 supérieur à 250, puisqu’elle peut provoquer une toxicité hépatique. Toutefois la Neviparine est très efficace parce qu’elle arrive à rejoindre rapidement toutes les régions du corps touchées par le virus ; elle a une « période biologique »(=emivita en italien) très longue et elle reste présente dans le corps très longtemps ; ainsi, dans le cas où il faudrait interrompre l’administration d’une thérapie de combinaison, il faut arrêter de prendre en premier, la Nevirapine puis les autres remèdes.
Déconseillée est la combinaison ddl/d4T pour les effets secondaires graves [I1] avec résultat létal et l’Efavirenz qui pourrait causer des dégâts cérébraux au fétus.