La prevention du SIDA di Veronique Malric - veroperotti@hotmail.com (traduzione del percorso di Manuela Letizia, manuela.letizia@libero.it)

Les femmes et le virus VIH

Le problème concernant l’infection du virus VIH chez les femmes est particulièrement important parce que celles-ci sont les sujets les plus à risques pour divers motifs, liés à l’aspect biologique et culturel. En outre, il faut également savoir que, dans le cas de grossesse, la femme VIH-positive peut transmettre le virus au fétus si elle ne prend pas des remèdes antirétroviraux ; l’enfant peut, en effet, être contaminé durant la gestation ou durant l’accouchement.

Pourquoi les femmes risquent plus

Les femmes sont les sujets les plus à risques en ce qui concerne la contamination. Les causes sont à rechercher dans les caractéristiques de leur sexe, en raison d’ordre biologique :

  • la conformité du vagin, qui détermine un contact plus prolongé avec le sperme ;

  • le sperme contient une concentration majeure de virus par rapport à la sécrétion vaginale;

  • dans la muqueuse vaginale et dans l’anus, souvent sont présents des micro lésions qui peuvent faciliter l’entrée du virus.

Il y a aussi des raisons culturelles qui sont la cause de risques majeurs pour les femmes, en tant que :

  • Les partenaires pensent que les rapports sexuels non protégés sont une forme de fidélité et de confiance;

  • les différences entre les grandes agglomérations et les petits centres urbains et les différentes traditions culturelles pèsent sur les comportements féminins;

  • il n’est pas toujours facile pour les femmes de demander au partenaire d’utiliser le préservatif lors de rapport sexuel ;

  • il y a une certaine honte lors de l’achat des préservatifs et à les avoir sur soi.

Les conditions comme la marginalité, la dépendance économique, la non émancipation dans le couple, font que la femme a peu de possibilité de choisir, de façon autonome, sur sa propre vie sexuelle et donc sur l’utilisation de préservatifs.
Rappelons que la seule façon pour s’assurer de la présence du virus, s’ il y a eu exposition à un risque de contamination, est celui de se soumettre à un prélèvement de sang pour effectuer le test VIH. Si dans le sang sont présents des anticorps Anti-VIH, alors on est séropositif mais on peut vivre pour plusieurs années sans les symptômes, mais l’on peut également transmettre le virus à d’autres personnes.
On ne risque pas de transmettre le virus, ou de l’attraper avec: la toux, les éternuements, les bises, les embrassades, les larmes, la sueur, des poignées de main, en donnant le sang aux autres si on n’est pas porteur du virus, en utilisant les mêmes toilettes, par des piqûres d’insectes, en touchant les poignées de portes, en utilisant la même vaisselle.
Certaines procédures esthétiques peuvent déterminer au contraire des risques en produisant des écoulements de sang effectués par des aiguilles ou des objets saillants ; celles-ci peuvent se vérifier :

  • chez l’esthéticienne;

  • dans les centres pour piercing;

  • chez le dentiste;

  • dans les centres d’acuponcture;

  • dans les centres de massothérapie et traitements sclérosants.

Quand on se rend dans ces centres il vaut mieux demander et exiger que soit utilisé des aiguilles neuves et stériles; naturellement même chez soi il faut suivre des règles d’hygiènes strictes et donc ne pas se passer les brosses, les rasoirs, les épilateurs à aiguilles.
Mais le virus VIH, comme nous l’avons déjà vu, n’est pas le seul virus qui peut se transmettre par voie sexuelles ; il existe trente autres maladies définies « sexuellement transmissibles ».Il est erroné de penser qu’on ne transmet pas le virus, avec le « coït interrompu », avec l’utilisation de la pilule anti contraceptive, le diaphragme ou la spirale. Des lacérations vaginales causées par d’autres pathologies peuvent augmenter les risques de contamination. Effectuer des lavages vaginaux, après les rapports sexuels, ne diminuent pas les possibilités d’attraper l’infection vu que, le sperme, est envoyé dans le vagin et éventuellement avec le virus. Les lubrifiants huileux ne doivent pas être utilisés parce qu’ils facilitent la rupture des préservatifs (qui doivent être changés après chaque rapport sexuel et être appliqués sur le pénis en érection avant la pénétration dans le vagin ou l’anus). Les lubrifiants à base d’eau n’affaiblissent pas au contraire les préservatifs, donc ils peuvent être utilisés, au contraire des crèmes et lotions qui traitent les infections fongicides .
Si une femme découvre avoir contracté le virus VIH elle doit commencer à se soigner de suite pour ne pas développer le SIDA et, surtout, ne pas transmettre le virus aux propres enfants (si elle est enceinte ou allaite). Si elle ne se soigne pas, le risque de tomber malade et mourir est plus important par rapport hommes puisque la charge virale chez les femmes est différente : il en suffit la moitié pour développer le SIDA dans le même laps de temps d’un homme. Si elle ignore qu’elle est infectée par le virus VIH, elle peut avoir des doutes en remarquant des problèmes vaginaux comme un ulcère ou des infections fongicides qui ne passent pas après les premiers soins. Le cancer du col de l’utérus, les verrues génitales et le Sarcome de Kaposi, sont des problèmes qui se manifestent beaucoup plus facilement chez les femmes infectées.

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Indice percorso Edita
Edurete.org Roberto Trinchero