Le changement de HAART
Le changement de la thérapie est une pratique clinique mis en acte pour les patients avec réplique virologique supprimée, soit pour les patients avec des défaillances virologiques
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[Es1].Les premiers subissent souvent de telles mutations de régime dans l’espérance d’alléger la toxicité aiguë, contrôler celles chroniques et améliorer la qualité de la vie. Cette stratégie semble normalement la plus sûre des thérapies jusqu’alors utilisées étant donné que les bénéfices du nouveau régime doivent être évalués avec les possibilités de rencontrer de nouvelles toxicités ou une augmentation du risque de défaillance virologique.
La qualité de la vie
De nombreux progrès ont été faits pour rendre les soins plus simples afin que les patients aient une constance à les suivre .Après le années quatre vingt- quinze, la « Théorie de la combinaison » apparaît pour faire prendre les médicaments trois fois par jours avec de l’eau, ou durant les repas et avec un grand nombre de gélules. Ces régimes complexes sont en train d’être réduits progressivement vers des thérapies plus simples qui utilisent la combinaison de gélules de la «dose-fixe » (prises une seule fois par jour) et l’utilisation de la Ritronavir (IP). De nombreux patients avec élimination virologique stable peuvent avoir, de cette façon, la possibilité de modifier leurs régimes et améliorer la qualité de la vie.
Des faits cliniques
Des faits, comme le développement des infections opportunistiques, sont liés au changement de HAART chez les patients avec élimination virologique. Les régimes thérapeutiques doivent être modifiés s’il existe une virémie relevable et alternative qui confirme l’élimination du virus VIH et augmente la reconstitution du système immunitaire. Les infections comme la réactivation du virus Herpes, l’herpes Zoster, la pneumonie, la lésion de l’ épithelium , peuvent se présenter chez des patients avec une suppression virologique stable sans besoin de changements thérapeutiques. Attention, tout ceci doit être interprété dans le cadre de faits cliniques qui se présentent dans les trois premiers mois du début du nouveau régime. En effet dans cette période, les patients avec une faible contamination de CD4 peuvent avertir un syndrome immune de reconstitution qui consiste en d’insolites manifestations d’infections opportunistiques (comme par exemple, le complexe avium de la mycobactérie, cytomégalovirus, leucoencéphalopathie). Il s’agit de faits qui dérivent de réponses immunitaires meilleures à l’infection mais qui ne représentent pas de toutes façons une défaillance du régime thérapeutique choisi. Le traitement, dans ces cas, doit être direct contre l’agent pathogène opportunistique et avec l’utilisation des anti-inflammatoires si nécessaire.
Les causes de la défaillance virologique
Une fois que le patient est sûr d’avertir une défaillance virologique, il faut comprendre quel le en est la cause ; si l’adhérence, la toxicité et les motifs pharmococyniques peuvent être exclus, alors il existe des problèmes dans la thérapie utilisée.
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[Es1].Avant tout il faut revoir avec attention l’histoire antirétrovirale du patient, le type de drogues utilisées, la durée du régime, les effets secondaires, les toxicités, les réponses dans les niveaux de ARN du virus VIH et les contagions des cellules CD4. Ensuite, il est possible d’ évaluer les probables mutations de résistance aux diverses drogues ou aux codes de catégorie. Dans tous les cas on doit conseiller aux patients la continuation de la thérapie actuelle pendant l’évaluation parce que l’interruption pourrait provoquer une augmentation du niveau de RNA du virus VIH ou une diminution des cellules CD4. En plus, la certitude que le virus soit en train de donner origine à des mutations de résistance aux drogues, ne pourra être obtenue que si le patient est en train de continuer la thérapie.
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