Les effets secondaires des médicaments Anti-VIH
Il existe des effets secondaires négatifs dans l’utilisation des médicaments anti-VIH. Les personnes qui utilisent ces remèdes, conduisent des vies plus longues et plus saines ; l’objectif du traitement est celui de réduire la quantité de virus dans le corps de l’individu infecté et empêcher la destruction du système immunitaire. Les médicaments
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[Es1] qui ont été approuvés par les États-Unis pour gérer la drogue et le traitement du virus VIH doivent être pris en association mais leurs effets secondaires
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[E3] sont:
La caractéristique des inhibiteurs de la protéase et des inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse est leur interaction avec le cytochrome hépatique p450, qui est un système d’enzymes du foie subrogé au métabolisme des médicaments. Les inhibiteurs de la protéase sont capables d’influencer le métabolisme des autres médicaments. Pour cette raison des arrangements en ce qui concerne le dosage et des changements au niveau de remèdes doivent être effectués souvent. Certaines interactions peuvent être utilisées dans le but thérapeutique : par exemple le Ritronavir (inhibiteur du cytochrome p450) peut augmenter les niveaux plasmatiques des autres inhibiteurs ou améliorer la pharmacocinétique.
[I1].
Le problème de la tolérance en ce qui concerne la thérapie HAART est un des problèmes qui limite l’efficacité du traitement. On note en effet de nombreuses réactions contraires, en particulier avec l’emploi sur une grande envergure d’inhibiteurs de la protéase. Divers régimes thérapeutiques prévoient l’utilisation de remèdes en association et les patients ont souvent déjà utilisé des thérapies avec d’autres antiviraux. C’est pour cette raison qu’il est difficile d’ attribuer une réaction inverse à un remède particulier. Il semble évident que l’apparition de réactions contraires soit la conséquence de l’activité des médicaments qui se renforce entre eux et, pour cela , nous parlerons de toxicité par HAART.
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[I1] [E2].
Pour soigner efficacement les patients qui développent un effet secondaire dû à une drogue durant leur premier régime thérapeutique, on change la drogue qui lèse dans le régime thérapeutique. Plus difficile est le cas où les patients affectés par le virus VIH présageant la toxicité, ou une défaillance virologique, ou une certaine résistance à plusieurs drogues, ont besoin d’un nouveau régime thérapeutique.
La toxicité aiguë
La plupart des toxicités ne mettent pas en danger la vie la qualité de celle-ci et la complaisance des patients qui doivent suivre les thérapies.
Dans de nombreuses études il a été mis en évidence la manière dont les toxicités sont la cause commune du changement des régimes. Nausées, vomissements, et diarrhées sont les symptômes les plus nommés. La plupart des changements thérapeutiques se font dans les 3 premiers mois et la plus grande partie des patients, selon les études effectuées, suivaient un régime basé sur des inhibiteurs de la Protéase.
Migraine, affaiblissement et anomalie dans les tests hématologiques concernant les fonctions hépatiques sont symptômes de toxicité mais, vu que beaucoup de patients améliorent leur condition de suite, les médecins peuvent essayer de contrôler les effets secondaires avec des soins palliatifs de courte durée. La décision de changer les remèdes doit être prise par rapport à la gravité des symptômes ,à l’efficacité des soins palliatifs et aux options pour d’éventuels changements, y compris les risques.
La toxicité chronique
Ce sont des toxicités qui émergent des mois ou années après le début des soins avec les remèdes antiviraux et ils comprennent :
- Neuropathie
[E1];
- Changements corporels dus à la lipodystrophie
[E1];
- Problèmes métaboliques ( par exemple: résistance à l’insuline et à la dyslipidémie liée à l’augmentation du risque des troubles vasculaires)
Lipoatrophie.
Diverses études ont mis en relief la manière dont la lipoatrophie (qui consiste en une perte de gras sous-cutané du visage, des fessiers et des membres, comme conséquence de la lipodystrophie) est associée à l’utilisation de la Thymidine et en particulier de la Stavudine. Pendant un certain temps, il semblait que la perte de gras était irréversible mais certaines études sont en train de mettre en évidence que la substitution de la Stavudine avec la Zidovudine peut corriger le problème, même avec l’Abacavir.
L’accumulation de gras
L’augmentation de gras viscéral a été liée de façon épidémiologique à l’utilisation de l’inhibiteur de la protéase
Lors d’études secondaires , on s’est efforcé de voir l’effet sur le gras du tronc chez des patients auxquels le régime avait été changé par des remèdes ne contenant pas d’inhibiteur de protéase ; malheureusement ils n’ont pas été correctement contrôlés, et les résultats se sont révélés de mauvaises qualités. En ce qui concerne les études où les sujets ont été pris au hasard, des réductions élevées de gras ont été enregistrées chez certains après avoir fait des traitements avec des inhibiteurs de la protéase avec Abacavir (INTI) par rapport à ceux qui ont continué la thérapie avec des inhibiteurs de protéase ; au contraire, chez d’autres sujets, auxquels à été modifié le traitement, on constate que l’hypotrophie s’aggrave.
La Dyslipidémie
L’hypertriglycéridémie et l’hypercholestérolémie ont été associées à l’utilisation des inhibiteurs spécifiques de la protéase. Il s’agit de problèmes qui surviennent peu de semaines après le début de la thérapie mais heureusement qui peuvent être contrôlés avec succès en changeant le type d’inhibiteur de protéase ou autres médicaments antiviraux.
La résistance à l’insuline /Diabète dit sucré
L’effet du changement de la drogue a été moins bien observé en ce qui concerne la résistance à l’insuline. L’Indinavir (IP) cause de façon très claire une diminution de la sensibilité à l’insuline une fois administré aux volontaires non infectés par le virus VIH. Les données des expériences effectuées in vitro et les associations du Diabète dit sucré, avec l’utilisation de l’inhibiteur de la protéase, suggèrent que certaines drogues peuvent être la cause directe ou indirecte de la résistance à l’insuline. En changeant le genre de remède il semblerait apparaître un effet positif .Il n’existe pas de données disponibles sur l’efficacité d’une pareille stratégie pour empêcher le diabète dit sucré, mais la substitution de l’inhibiteur de la protéase, avec une autre drogue, peut être la solution pour les patients qui ont d’autres facteurs à risques comme l’obésité et l’histoire familiale.
Les toxicités mortelles
Les toxicités qui menacent la vie des patients sont rares mais restent de toutes façons une motivation importante en ce qui concerne la décision d’un changement de régime thérapeutique. Graves sont : le syndrome de Stevens-Johnson et l’Érythème multiforme. Les toxicités potentiellement létales sont liées à la Stavudine (INTI) mais n’ont pas été signalées même après l’utilisation d’autres inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse.
Dans le cas des acidoses lactiques ,le changement de l’agent offensif a été suggéré (normalement par la Stavudine ou la Didanosine) avec des analogues alternatifs du nucléoside qui n’endommagent pas les mitochondries.
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