Athlétisme. La course de résistance di Molinari Marina

ORGANES EMPLOYES

Dans le mécanisme aérobie sont employés poumons, coeur et appareil vasculaire[ F1 ][ F2 ][ ES ].

Les adaptations physiologiques que la course de résistance détermine sur l'organisme sont multiples:

• Réduction de la fréquence cardiaque au repos [ F1 ][ F2 ][ F3 ][ I1 ][ I2 ][ I3 ][ E1 ][ E2 ][ E3 ][ ES1 ][ ES2 ]: le coeur réussit à pomper avec majeure efficacité la quantité de sang nécessaire à des augmentées demandes énergétiques dues à l’effort, la portée systolique (volume du sang qui sort des ventricules à chaque contraction ventriculaire) et la portée cardiaque (volume de sang expulsé du coeur dans un minute) augmentent et, en conséquence, même pour les normaux besoins liés à l'activité quotidienne le coeur réussit à pomper le nécessaire avec un moindre nombre de pulsations

• Augmentation de la capacité vitale (quantité d'air qu'on souffle avec un’ expiration forcée qui suit à une inspiration forcée)

• Réduction du cholestérol[ I ][ E ][ ES ]

• Majeure oxygénation des tissus et irroration sanguine des capillaires

• Bénéfices sur le fonctionnement de l'appareil digérant.

Courir aide à connaître son corps et ses limites, à percevoir le fonctionnement des différents organes, à réduire le stress, à se détendre.

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Edurete.org Roberto Trinchero