Le plan stratégique de l’Institut Supérieure de la Santé Publique ( I.S.S) contre le SIDA dans le monde
Dans le Monde plus de 90% des personnes avec VIH/SIDA n’a pas accès aux soins alors que la minorité des pays riches est capable de réduire sensiblement la mortalité dû au SIDA[I1].
L’I.S.S. a préparé un plan stratégique contre le SIDA dans le sud du monde en mettant à disposition sa propre expérience, ses propres connaissances scientifiques et lancé des projets de recherche :
le développement des microbicides vaginaux assument une stratégie particulière sur le plan de la prévention, étant donné que sur le marché sont mis des produits en forme de gel, crèmes, éponges et pellicules (à insérer dans le vagin avant les rapports sexuels) qui représentent un système de protection de l’infection dans les mains des femmes. Particulièrement efficace est l’emploi des émulsions contenant les mêmes médicaments anti rétroviraux utilisés pour la thérapie de l’infection du virus VIH ;
l’étude “Simba”, pour éviter la transmission du virus à travers le lait maternel. L’objectif de l’étude a été de mettre au point des stratégies de prophylaxies antirétrovirales qui empêchent l’apparition d’infections du virus VIH chez les enfants à la suite de l’allaitement au sein. Pour un tel protocole, en plus de fournir une thérapie à la mère, a aussi été prévue l’administration de médicaments aussi aux enfants pour six mois. L’étude a été coordonnée avec le centre SIDA de l’Université d’Amsterdam ;
”Part”, recherche sur l’utilisation intermittente de la thérapie antivirale. On a cherché à élaborer, sur le plan des thérapies, des stratégies pour gérer les remèdes de façons différentes, en mettant au point de nouvelles combinaisons et à améliorer la qualité de la vie en réduisant les toxicités. En étude il y a l’utilisation intermittente de la thérapie ;
le monitorage mondial des souches VIH-résistants. Il reste encore des problèmes liés à la puissance insuffisante des médicaments et la question de l’adhérence aux thérapies qui causent l’incomplète suppression de la réplication du virus. Sont fréquents les cas d’échecs thérapeutiques et l’émergence des souches des virus VIH résistants aux antirétroviraux ; 15% des personnes s’infectent avec des virus, déjà résistants au moins à un remède. L’Organisation Mondiale de la Santé, en collaboration avec l’Institut Supérieur , a mis au point une ligne de surveillance mondiale qui, contrôlant la circulation des souches résistantes, devrait conduire la sélection du régime thérapeutique, sur la base des divers « modèles régionaux » et contribuer à l’éducation des opérateurs sanitaires sur l’utilisation de la thérapie et sur les modes qui évitent également la diffusion des résistances aussi dans le sud du monde. ,
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