La culture romantique et l'été de la Restauration: le destin de l’Italie au Dix-neuvième-siècle
Le Romantisme
[F1]
[F2]
[F3]
[E1]
[E2]
[E3]
[E4]
[Es1][Es2][Es3]
[Es4]
[Es5]
se présente de manière différente dans les différentes nations et, plusieurs fois dans la même nation, en politique, des groups soutiennent la Restauration
[F1]
[F2]
[E1]
[E2]
[Es1], qui commence 15 ans plus tard et prend sa source du Congrès de Vienne (1814-15)[Es1][Es2], dessine un ordre politique et de stabilité internationale dont les grandes puissances deviennent garantes, mais ne sont pas en mesure de faire face aux insurrections nationales, indépendantes et sociales qui détruisent cet ordre–même.
En effet, après les procès d’indépendance et d’unification des Etats, il y a une Europe donnant vie à deux secteurs: d’une partie il y a des états nationaux conduits par des monarchies libérales; de l’autre partie les trois grands agrégations multinationales et pluriethniques (allemande, austro-hongroise et russe) sous la forme de l’autorité du pouvoir.
Au même temps le développement démographique et économique , conduit par l’industrialisation, modifie le physionomie sociale et matérielle de l’Europe: les premières villes industrielles vont naître, la classe moyenne et le prolétariat se présentent au milieu de l’Histoire, de modernes idéologies et de nouvelles formes de participation qui expriment la transition de la société élitaire à celle de masse vont paraître.
Le 1848 met en relief les idées du pouvoir sous-national, adressé vers une mutation sociale: le socialisme met ses racines partout en Europe et, à partir des révolutions du 1848, on a le Manifeste du Parti Communiste, publié à Londres par Karl Marx et Friedrich Engels.
Le destin de l’Italie au Dix-neuvième-siècle
L’Italie a été un Pays qui a longtemps ressenti de l’influence de la domination de Napoléon.
Les conséquences politiques et sociales ont été importantes: le Pays entier voit l’abolition de la féodalité et, avec l’introduction du Code de Napoléon
[F1]
[E1]
[E2]
[Es1], des écoles publiques vont paraître, la sépulture de cimetière va avoir lieu, beaucoup de terres de l’Eglise sont vendues, les propriétés communales sont privatisées et les administrations de l’Etat sont restructurées.
En réalité, ce sont les principales classes sociales qui se rendent disponibles à la politique de Napoléon qui vont recevoir les bénéfices les plus grands: la bourgeoisie et la vieille aristocratie (qui accueillent son modérantisme politique) vont voir s’agrandir leurs propriétés, vont faire partie de la nouvelle administration, vont avoir une place à l’intérieur de l’armée de l’empereur.
Sur le côté économique, le bilan paraît plus contradictoire: l’industrie française sacrifie la main-d’oeuvre, déjà peu développée, et les ports souffrent à cause du bloc continental même s’il faut reconnaître que l’Italie du nord est bien insérée à l’intérieur d’un marché continental plus vaste et se relie à la Suisse, à l’Allemagne et à la France grâce à un bon réseau routier. Les nationalistes italiens se fâchent au moment où Napoléon donne la République de Venise à l’Autriche (traité de Campoformio)[F1]: on peut bien noter cette rage et cette douleur dans l’incipit de l’œuvre “Le ultime lettere di Jacopo Ortis”
[I1]
[I2]
[Es1], écrit par le patriote et écrivain italien Ugo Foscolo
[I1]
[F1]
[E1]
[Es1].
Au contraire c’était la pensée d’ Alessandro Manzoni
[F1]
[F2]
[E1]
[E2]
[Es1], qui ne définit pas le concept de «Nation» comme un fait géographique ou politique mais comme un peuple qui se sent uni par la même conscience de traditions militaires, linguistiques et ethniques: «...Sans la conscience d’être frères il n’y a pas de nations, mais des peuples vulgaires».
Son ode “Marzo 1821” [I1] est l’éprouve que son concept de nation n’est pas seulement du nationalisme; composée en 1821, quand les mottes libérales piémontaises provoquent de grandes espérances aussi dans les patriotes lombards (qui attendaient avec confiance l’intervention de l’armée de la maison de Savoie), cette ode-là interprète les idéaux politiques et civils nationaux et religieux sur la patrie et le besoins de justice et de liberté avec le respect des valeurs spirituels consacrés par les traditions et communes au peuple entier.
Les manifestations littéraires entre les années ’20 et ’50 du Dix-septième-siècle, sont de matrice politique liées au «Risorgimento»italien
[F1]
[F2]
[F3]
[Es1](fr. Renaissance, Résurrection) et elles exercent leur influence sur des auteurs comme par exemple Giosue’ Carducci, Francesco De Sanctis, Giovanni Verga.
20/26
|