Le mécanisme aérobie[F2], ou oxydatif, est le processus parmi lequel la cellule démolit les substrats (glucides, lipides et protéines) en utilisant l’oxygène : cet a dire la réspiration céllulaire.
Ces procès ont lieu dans la cellule, à l’intérieur de particuliers corpuscules (organites), très nombreux dans le muscle, les mitochondries[F2].
Parmi de nombreuses et complexes réactions, la molécule d’oxygène brûle les substrat et produit eau, anhydride carbonique et l’ATP nécessaire au travail musculaire.
Comme résultat de ces réactions, à partir d’une mole de glycogène on obtient 39 molécules de ATP tandis qu’avec le métabolisme anaérobie lactique on en obtiendrais seulement 3.
Le problème est que face à une capacité très élevée (en théorie, une activité aérobie pourrait se prolonger pendant des jours), la puissance développé par cette voie est la plus faible parmi les trois mécanisme.
Le mécanisme oxydatif peut utiliser les glucides, les lipides et les protéines. Le réserve de carbohydrates (1200-2000 Kcal[F2]environ) sont suffisantes pour une activité de deux heures environ ; les protéines sont utilisées seulement quand les réserves de carbohydrates sont épuisées et le besoin de énergie est élevé.
Les lipides, enfin, sont capables de garantir une énorme réserve d’énergie, mais, avec la même consommation d’oxygène, par rapport à les carbohydrates ils ont un rendement inférieur de à peu près 10%.
Dans un exercice physique continu prolongé, le mécanisme aérobie vient toujours plus sollicité dans le temps : après seulement cinq minutes plus de 90% produit est de origine aérobie.
Sport: athlétisme ( courses de résistance ), cyclisme, triathlon, ski nordique, nage…